MAROC TERRE DE LUMIÈRE
Par HASSAN EL ARCH
Directeur de la Rédaction
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Ce pourrait être le titre d’un poème. D’un florilège. D’une composition picturale. Ou d’une œuvre gravée dans le marbre. Le marketing peut, parfois, prétendre au summum de la beauté et, ce faisant, immortaliser des concepts fédérateurs. Celui qu’a révélé l’ONMT hier en est un exemple de haute volée : «Le Maroc, terre de lumière». C’est à la fois concis, simple et extraordinairement parlant. Un label pour la nouvelle marque touristique du Royaume que le monde découvre dès aujourd’hui.
Jamais sans doute dans les annales de l’Office, pareille inspiration n’avait été trouvée par les marketeurs pour suggérer, en très peu de mots, la promesse d’un pays qui plaît, séduit, attire, honore, donne avec générosité et imprime dans les mémoires une empreinte qui transcende le temps. Le Directeur Général de l’ONMT, Adel El Fakir, a relevé ce très beau challenge. Son Directeur de la Communication, Youssef Alaoui, leurs équipes au Maroc et à l’étranger et leur agence de relations publiques, Mosaïk, se sont surpassés dans ce qui est considéré, depuis hier soir, comme une rupture en matière de communication institutionnelle. Le défi consistait à surfer sur les espoirs de reprise en dépit de toutes les zones d’ombre de la conjoncture. À positiver à contre-courant ! À susciter l’envie chez les voyageurs du monde entier. À vendre l’image d’un Maroc éternel, qui se renouvelle, se redéploie, avance encore et toujours, réaffirme son identité. Un territoire d’hospitalité. Une terre de lumière ! Voilà l’idée, en effet. C’est sous la pression que les talents se révèlent et que les vocations s’expriment. Les femmes et les hommes de l’ONMT ont été mis au défi comme personne auparavant. Deux ans de Covid, contraintes conjoncturelles, difficultés structurelles et stress de tous les jours face à l’obligation de réussir… Collectivement, ils ont mouillé la chemise. La campagne de com’ mondiale qu’ils ont contribué à façonner offre une très belle signature pour la marque Maroc. LE TEMPS y reviendra en détail, dans un dossier spécial en édition mensuelle print, à paraître le 2 mai prochain. En attendant, nous disons «Bravo l’ONMT» pour ce travail d’exception.
