Elam Jay signe un énorme come back avec «Heroina/Rwina»

Elam Jay renoue avec sa passion et signe son grand retour dans la musique en Afrique et au Moyen-Orient, avec le titre «Heroina/Rwina». Écrite, composée et produite par l’artiste lui-même, la chanson est originale et surprenante par son sujet et son rythme accrocheur et sautillant.
Le chanteur, auteur-compositeur, producteur et réalisateur, a gravé son nom dans le cœur de ses fans au Maroc et à l’étranger, notamment avec «Morena», la chanson à gros succès dont on se souvient toujours. À l’époque, en tant que pionnier dans son domaine, il a réussi à mélanger R&B, Flamenco, Gnawi et sonorités Afro en un son original, qui est le sien, et il a été le premier artiste marocain à inclure dans ses clips des visuels 3D.
Elam Jay est aujourd’hui prêt à relever un nouveau défi. Selon lui, «la musique est juste magique, elle transcende toutes les langues et toutes les cultures». Pour la première fois de sa carrière, l’artiste a en effet choisi de chanter dans sa langue maternelle, la Darija, mélangée à l’anglais et à l’espagnol. La guitare latino-country donne à la chanson une sensation de feu et raconte l’histoire d’une fête estivale incendiaire. Pour la partie visuelle, encore une fois, Elam Jay est sur le point de faire avancer l’industrie de la musique en Afrique et au Moyen-Orient, étant le premier à utiliser dans un clip vidéo la nouvelle technologie dite «Unreal Engine», connue uniquement dans l’industrie des jeux vidéo (gaming) et de quelques grosses productions cinématographiques dans le monde.
L’artiste a adopté une stratégie marketing digitale innovante. En effet, il a lancé sur les différentes plateformes sociales, depuis quelques jours, de courtes vidéos contenant des sonorités et paroles de la nouvelle chanson, pour annoncer la sortie officielle du titre «Heroina/Rwina». Les contenus ont pris la tendance sur la plateforme «TikTok» avec plus de 7.000 vidéos partagées, générant plus de 75 millions de vues.
Elam Jay est connu par le public en tant qu’artiste chanteur, danseur, producteur, mais aussi homme d’affaires. L’artiste suisso-marocain est l’archétype du self-made man. Né en 1974 à Casablanca, il comprend dès son plus jeune âge que seuls le travail assidu et la ténacité lui permettront de réaliser ses rêves. Il a ainsi le mérite d’être le principal acteur de sa réussite. À l’âge de 14 ans, alors étudiant, il déménage à Genève (Suisse), et enchaîne les petits boulots pour pouvoir s’offrir ses premières sessions de studio où il crée des sons pour ses chorégraphies de danse. Deux ans plus tard, gagnant au concours «Black or White» de Mickael Jackson à Paris-Bercy et attiré par le monde entrepreneurial, le jeune homme met en place sa propre école de danse où il a encadré et formé plus de 180 élèves.
Lorsqu’il signe son premier contrat d’artiste avec le label Island Records, Elam Jay est déjà créateur de ses propres œuvres musicales. Son premier single, «Return to Freedom», lui accorde déjà une forte présence dans le marché français. Il se fait ensuite remarquer par le géant de l’industrie, Sony Music. Elam Jay signe un contrat d’artiste/producteur pour l’Europe et sort le single «Wanna be Free». En parallèle, il collabore en tant que producteur en composant et en écrivant pour des artistes de différents pays tels que la Turquie, l’Égypte, la Roumanie ou encore les Etats-Unis, ce qui lui donne la réputation d’un artiste éclectique et complet.
Voulant étendre sa musique à un marché international, l’artiste accomplit des voyages récurrents aux Etats-Unis et choisit de s’y installer pour quelques années avec pour objectif de s’approprier la culture et les rouages de l’industrie du divertissement américain. Elam Jay revient au Maroc, ses terres d’origines, pour saisir les opportunités de business qui s’offrent à lui. Il fonde ainsi le label Platinum Music, propriétaire de la franchise Universal Music au Maroc, avec le rêve de créer et de propulser l’industrie du divertissement sur le continent africain.
Pionnier dans son domaine et visionnaire souhait, Elam Jay révolutionne la scène musicale de l’époque, en apportant du sang frais et en lançant une nouvelle génération d’artistes en quête de modernisation. L’artiste entre dans les foyers marocains, grâce à «Maghribia», l’hymne officiel de la candidature du Maroc à l’organisation de la Coupe du Monde FIFA 2010, qu’il signe en tant qu’auteur et compositeur. Sur une musique fusionnant plusieurs styles, il se produit aux côtés de son épouse Mirela Jay et du grand artiste Mohamed Derham, soliste du légendaire groupe Jil Jilala.
Le succès se confirme quand il signe un contrat de partenariat avec Coca-Cola pour la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), devenant ainsi le premier artiste porte-parole de la multinationale d’Atlanta. Ce partenariat lui a valu une critique très élogieuse grâce à la chanson «Morena» qui a atteint plus de 300 millions d’auditeurs à travers toute la région MENA. De même, l’artiste collabore avec l’opérateur Inwi qui incorpore dans sa campagne marketing la chanson «Gnawitone». Le titre touche l’ensemble de la population marocaine qui vibra sous les sons Gnawa. Plus tard, Elam Jay connaît un immense succès avec son titre «Sunshine», une reprise up-tempo de la fameuse «Ain’t no sunshine» de Bill Withers, qui atteint la première position du Top 30 des playlists des radios nationales, pendant 6 semaines consécutives. Aussi, «Hayganini», titre qu’Elam Jay interprète avec le gagnant de l’émission «X Factor Arabia 2013», devenu un hit incontournable dans les pays maghrébins et surtout en Égypte. Un tube toujours d’actualité dans les ondes des radios égyptiennes. Mais Elam Jay est surtout reconnu pour ses performances «live» très charismatiques et extrêmement élaborées. Ses spectacles englobent de manière harmonieuse de nombreux musiciens, danseurs et chanteurs. Le mélange des styles et la diversité inspirent l’artiste qui se réjouit de la richesse culturelle qui en résulte.
En vrai artiste visuel, Elam Jay subjugue les foules avec des performances artistiques complexes et méticuleusement préparées. Les scènes aux décors soigneusement conçus sont sublimées par de nouvelles technologies mélangeant lumières, sons et effets spéciaux. Après une longue absence, il revient en force, en cette année 2022, avec son titre «Heroina/Rwina» qui fait déjà le trend sur les réseaux sociaux !