Le CRI de Marrakech-Safi valorise l’offre industrielle du pôle Sidi Bouathmane

Le Centre Régional d’Investissement (CRI) Marrakech-Safi a organisé vendredi dernier une grande cérémonie pour le lancement officiel de l’appel à projets du parc industriel de Sidi Bouathmane, situé à 20 minutes de la ville de Marrakech. L’événement a eu lieu en présence du gouverneur de la province de Rhamna, du président de la Chambre de Commerce, d’Industrie et des Services de Marrakech-Safi, de la directrice générale de l’Industrie par intérim, ainsi que de hauts représentants du ministère de l’Industrie.
Après avoir présenté les atouts et opportunités industriels de la métropole du Grand Marrakech, une visite du parc a eu lieu, permettant aux centaines d’opérateurs présents de découvrir les infrastructures de la zone industrielle et le retour d’expérience d’acteurs déjà présents sur le site. 44 lots de 230 à 15.000 m2 sont aujourd’hui proposés aux industriels porteurs de projets créateurs de valeur et d’emplois, à un prix moyen de 240 DH/m2.
Cet appel à projets est le fruit d’un travail collectif, entrepris sous l’égide de la Wilaya de la région Marrakech-Safi et de la Province de Rehamna, en partenariat avec le promoteur public Al-Omrane Marrakech-Safi, la Direction Régionale du ministère de l’Industrie et du Commerce, l’Agence Urbaine de Rhamna El Kelaa et la Commune de Sidi Bouathmane.
À proximité directe de Marrakech d’une part, et de la nouvelle ville verte de Benguerir d’autre part, Sidi Bouathmane est promise à un bel avenir. En effet, plusieurs projets structurants sont prévus dans cette zone et permettront d’accroître son attractivité et développer son tissu socio-économique. Il faut citer notamment la future zone logistique multimodale, le futur agropole et le marché de gros ainsi qu’une nouvelle zone de développement, à la fois résidentielle et commerciale, abritant une université sur 10 hectares.
À préciser que cet événement s’inscrit dans le cadre de la deuxième édition «CRI Investment Day», tenue après celle de Sidi Kaouki (près d’Essaouira), en mai dernier.
M. E.