Mondelez Maroc lance de nouveaux biscuits sandwichés avec la gamme «Tango Go»
Mondelez, numéro un mondial des biscuits, acteur historique de la biscuiterie au Maroc, vient de lancer sur le marché national deux innovations relatives à son emblématique marque de biscuits sandwichés «Tango». Derrière ce lancement, un projet de recherche et développement initié par Mondelez Maroc pour booster davantage la catégorie des biscuits sandwichés, qui représente un réel moteur de croissance du marché de la biscuiterie en général.
L’équipe de marketing de Mondelez Maroc a effectué un travail de fonds sur les attentes des consommateurs de ce segment, le but étant de développer des biscuits sandwichés de grande qualité et répondant à leurs attentes en termes de goût et d’aspiration. Le team du projet, composé des membres issus de la direction Marketing et celle de la Recherche & Développement, a relevé le défi de parvenir à fabriquer un biscuit sandwiché alliant à la fois le bon goût et l’effet rassasiant, tout en étant doté d’une formule hautement nutritive.
Les nouveaux biscuits sandwichés «Tango Go» sont fabriqués avec des ingrédients de premier choix et une formule enrichie en minéraux, en l’occurrence en calcium et en magnésium. Ils sont rassasiants, nutritifs et contribuent à soutenir un niveau énergétique normal dans le métabolisme. Ils sont proposés en un biscuit sandwiché enrobé ou non. Côté packaging, «Tango Go Cacao» et «Tango Go Enrobé» sont présentés sous format individuel au prix de 2,5 DH ainsi que dans des packs avec un emballage haut de gamme.
Soulignons que depuis 2001, Mondelez est installée sur le marché marocain. Le groupe produit des marques très populaires comme «Oreo», numéro un mondial des biscuits, et «Bimo», la marque ombrelle et iconique des biscuits au Maroc. Parmi ses autres produits, les chocolats «Milka», «Clorets», «Trident» et «Halls», numéro un mondial des bonbons mentholés. Mondelez Maroc emploie 1.000 salariés et opère à travers son usine et son dépôt à Casablanca, où se trouve la plus grande ligne de production d’«Oreo» en Afrique.
L. F.
